mardi 12 avril 2011

En route pour Vinh

Le 8/04/2011


Des rizieres a perte de vue
Après 7h de train pour Vinh, une ville située à plus de 200 km de la capitale, nous reprenons les vélos direction Hué. Le train a surtout été un moyen de gagner du temps (nous n’avons que 20j pour aller à Ho Chi Minh, éviter la sortie d’Hanoi et tout le district constitué en majorité de zone industrielle. Et puis c’est assez folklorique de prendre le train. Au menu : des bancs en bois dur, la fumée de cigarettes, les bruits des passagers, le sodeurs des poussières, de nourritures et les enguelades entre le controleur et les vendeuses à la sauvette (ils en sont quand meme venus presque aux mains)… sans compter les passagers qui s’entassent jusque dans les couloirs assis sur une simple chaise. Le tout donne un cocktail explosif et comment dire intéressant.

En revanche pour les vietnamiens, c’est rigolo de voir 2 blancs dans un train régulier (les étrangers vont souvent en classe molle ou 1ere ou prennent un train plus luxueux.)Imaginez qu’ils vont jusque Ho Chi Minh (soit 31h de train) dans ces conditions. Du coup on nous regarde avec insistance et les deux passagers devant nous ont tenté de communiquer avec nous avec le peu d’anglais qu’ils connaissent. Nous avons tout de meme eu le temps en 1h de temps d’appremdre quelques mots de v ietnamiens.

Arrivés à Vinh, il nous restait à récupérer nos vélos, conditionnés comme bagage lourd dans un compartiment à part. Tout une histoire. Alors que nous avions nos billets et en arrivant à la gare, nous avons appris que nous ne pouvions pas mettre les vélos dans le wagon. Il a fallu courir aux bagages et réussir à se faire comprendre (personne ne parle l’anglais comme d’habitude) et meme enjamber des sacs de toile avec nos vélos pour finalement réussir à embarquer le tout 10 minutes avant le départ. Comme quoi, nous ne sommes jamsi au bout de nos suprises au Vietnam.

Julien et Sophie




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