Après 11 jours au Laos et plus de 430 km parcourus entre Vientianne et la frontière Vietnamienne, le Laos a été pour moi un pays bienm différent de l’Inde ou du Népal ; déjà par sa verdure. Le Laos mise sur sa verdure et j’espère qu’il en restera ainsi. Ce tout petit pays peuplé de 6 millions d’habitants a une faune et une flore très riche. Nous avons parcouru des centaines de km entourés d’un panorama magnifique avec le srochersm les montagnes abruptes et la jungle à perte de vue. C’est tellement reposant de pouvoir se ressourcer dans cette nature et faire des km sans ames qui vivent. Le Laos est aussi pour moi synonyme de petits villages reliés entre eux et aux grandes villes que par un bus par jour quand il passe. Je comprends pourquoi les scooters sont rois. La vie y est très simple dans ces petites maisons sur pilotis faites de bambous, de bananiers et de pailles.
C’est rigolo de les traverser et de voir le sfemmes travailler dans de petites échoppes le long de la route ou etre assises tout simplement à vaquer à quelques occupations mystérieuses. Parfois elles travaillent sur de vieux métiers à tisser. Assez impressionnant. Quant aux hommes, il n’est pas rare de les croiser sur la route (accompagnés des femmes et des enfants quelquefois) marchant avec de longs couteaux ou un fusil à la recherche de bambous à couper ou pour cueillir les bananes. Les enfants sont comme d’habitude le splus rigolos avec leurs grands yeux à notre passage, leurs curiosités et leurs Sabbai Dei (bonjour) lancés avec joie. C’est une population vraiment souriante, toujours prete à vous aider meme si ils ne comprennent pas l’anglais.
Je pense que pour découvrir réellement le Laos il faut sortir des sentiers battus et traverser les villages et le sroutes quasi désertique. C’est encore une destination peu touristique miuse à part Vientianne et Louang Prabang mais pour combien de temps ?
Le Laos évolue au niveau touristique maisd pas seulement. Le pays a lancé un programme pour permettre à tous de recevoir l’électricité (ce qui est une bonne chose), de vivre décemment (la plupart des familles ne vivent qu’avec leur propre récolte) et dans des maisons construites en dur. C’est certain le pays a besoin d’évoluer masi il ne faudrait pas qu’il perde son identité (les nombreuses tribues dans leurs maisons en bois et avec leurs propres traditions sont elle menacées ?) ou rentre dans l’hyper consommation (ses forets et ses paysages uniques verdoyants forgent vraiment son identité). Finalement le Laos mérite que j’y revienne et que je m’y attarde et se serait intéressant de voir son évolution d’ici 10 ans.
Sophie
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