dimanche 3 avril 2011

Hanoi, la ville folle

La circulation a Hanoi
C’est en bus que nous traversons la frontière. Tout de suite nous sentons que nous arrivons dans un pays un peu plus militarisé et communiste. Questions à l’entrée, petite fouille des bagages et douaniers ne souriant pas nous donnent un petit apercu. Mais bon les formalités accomplies, le bus va traverser une série de villages avant son long trajet vers Hanoi. Le changement de pays est perceptible dès les premiers kilomètres avec un paysage toujours aussi verdoyant mais avec les rizières en plus et les fameux chapeaux à pointe à la Vietnamienne.
En approchant des grandes villes (assez nombreuses au Vietnam), nous prenons conscience de l’immensité du pays et de la population nombreuse (cela nous change du Laos) sans compter la circulation démentielle. On nous avait dit que les Vietnamiens étaient les plus mauvais conducteurs du monde et que pour traverser la route ils fallaient fermer les yeux masi c’est malheureusement vraie. Rien qu’en arrivant à Hanoi, nous avons croisé 4 accidents dont un train arrété parce qu’il avit coupé une camionnette en deux et un autre entre un camion et une moto et dont le conducteur de la moto était recouvert d’un drap. Nous vous laissons imaginer la circulation.
Après 16h de bus, il nous faut affronter cette ville de nuit et à vélo. Sans plan ni destination précise dans un eville où l’anglais est très peu pratiqué, la mission n’est pas facile et après plus de 30mn à tourner, nous prenon sun hotel un peu cher. Tant pis pour le coté aventurier. Heureusement le lendemain est beaucoup plus plaisant et malgré une circulation toujours aussi folle, nous trouvons l’auberge de jeunesse assez facilement. Hnoi nous ouvre ses portes et nous commecons notre exploration à vélo et à pieds dans le vieux quartier. Nous retrouvons toutes les couleurs et les parfums qu’offrent l’Asie avec ses étales de fruits et légumes ou d’épices à mem la rue. Le marché offre ses marchandises classiques et incongrus dans un fouilli organisé et dans le srues, les Vietnamiennes chargées de paniers portés de chauqe coté des épaules, proposent des fruits, du bois et autres objets utiles ou non. Hnoi semble etre un emégalopole qui ne dort jamais folle et organisée en meme temps. Mais il ets encore trop tot pour s’en faire une idée précise.
Sophie et Julien

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