vendredi 29 avril 2011

In the Jungle



Lever de soleil sur la jungle
Après une nuit assez courte (les bruits ne sont pas les memes la nuit surtout dans une maison en bois) nous allon sjouer les Indianas Jones  dans la jungle cambodgienne. Pour nous mettre en appétit, un epromenade en bateau ou plutot en pirogue amélioré nous permet de voir quelques specimens d’oiseaux, des singes et surtout de pouvoir admirer un paysage unique. Très sympa de s’y promener et de voir le reflet des arbres ur l’eau. Mais pas le temps de s’y attarder. Il est temps de rentrer dans le vif du sujet accompagné de Linc, un jeune américain très sympathique rencontré la veille, d’un guide, de deux écogardes et d’un forest cooker.
Dès les premiers mètres armés de nos sacs à dos (prétés par la communauté et qui ne sont pas adaptés) marchant dans les hautes herbes  avant de nous enfoncer très vite dans le sbois, nous comprenons que cela ne sera pas une promenade de santé. La chaleur est écrasante doublée de l’humidité et il faut savoir composer avec les habitants nuisibles ounon. Les linchs, espèce de sansues des forets viennent sans arret sur nos pieds et nos jambes. Il faut etre vigilant et les enlever fréquement pour ne pas qu’ils vous sucent le sang. Il faut voir les jambes de Lic arranges par les Linchs. Assez impressionnant. Sur le chemin, nous croisons araignées géantes (que nous avions déjà vu la veille dans la douche ou ce qui sert de douche de nos hotes), serpents, scorpions, un nombre incroyable de fourmis et d’insectes de toutes les tailles et les couleurs ainsi que nombres d’oiseaux aux chants et aux plumages étranges. Ce qui reste le plus marquant, se sont les sons. Nous entendons taper, crier, chanter les animaux qui sont partouts autour de nous et si nous ne les voyons pas, en revanche ils nous offrent une véritable symphonie. Le plus rigolo reste cet oiseau rare don’t le chant très strident ressemble à la roulette du dentiste (charmant non). Quelques km plus loin, nous tombons sur une jolie rivière qui semble surgir de nulle part dans les profondeurs de la foret. Cela sera notre pause déjeuner. Etrange de manger sur un rocher entre deux eaux au milieu de la junge et envahis par les moucherons qui ne vous lachent pas.
On dresse le camps
Malheureusement la pluie va venir s’inviter à notre trek. La mousson nous a rattrapé et la jungle devient pratiquement noire. La vie semble se mettre en suspens le temps de l ’orage. L’atmosphère est vraiment étrange. Nous nous croirons presque dans un film d’horreur ou un jeu video où le méchant surgit de nulle part. Très vite le chemin est inondé et il nous faut continuer à progresser jusqu’au camps. Nous y arrivons trempés alors que l’orage bat son plein.
En fait de camps, c’est plutot une cabane ouverte en bois dont le toit est inexistant à certain endroit. Heureusement qu’il ne fait pas froid. Ce soir se sera dodo dans un hamac couverte par une moustiquaire à la pleine lune si nous pouvons dire. D’ailleurs avec la nuit qui tombe, dautres animaux prennent le relais et l’ambiance change. Les bruits se font plus presents, le bois craque et dans notre hamac il nous semble qu’à chaque instant quelque chose se passé. Dans le noir complet, vous entendez le sfeuilles bouger, marcher, le splats et assiettes laissés dehors s’entrechoquent comme si quelqu’un ou quelque chose venait manger. Nous prenons conscience que nous sommes dans la jungle, dans un milieu hostil. Tout est impressionnant, étrange presque effrayant.
Après une nuit dans la jungle, assez courte, le temps est de nouveau à la pluie. Trempés de la veille, le back pack de Sophie ayant aussi pris l’eau et au vu du temps, il est plus prudent de rentrer à Chi Phat plus tot que prévu (nous devions passer 2 nuits dans la jungle). Notre équipement n’est pas adapté pour la mousson. Le retour se fait assez rapidement une partie dans les bois, une autre dans les champs et les prairies qui servent pour la reforestation. L’occasion de voir le travail effectué par la communauté. Dernière petite surprise, nous traversons des champs de plantes grasses qui nous laissent en souvenir des centaines de petite épines sur nos pantaloons (Sophie passera son après midi à les enlever avec une pince à épiler).
Finalement, c’est en vélo datant de la guerre (et oui de nouveau) que nous finirons notre séjour  découvrant les différentes facettes du village et son panorama entre jungle, montagne…
Une très bonne expérience plongée à la fois dans la vie quotidienne des cambodiens et l’immersion complete dans le monde fascinant de la jungle.
Sophie et Julien

Photos 

mercredi 27 avril 2011

Adieu la jungle urbaine et bonjour la vraie jungle

Sophie dans la jungle ce n'est pas gagne

Loin des grandes villes et des lieux touristiques, nous avons atteri à Chi Phat, une communaut”e d’une centaine de familles perdue dans la brousse cambodgienne. C’est une des seules à proposer de l’ecotourisme. Autant dire qu’en cette période de l’année (c’est le début de la mousson) nous sommes 3 pelés à se lancer dans l’aventure. Le village en lui meme reflète réellement la vie cambodgienne à la champagne avec sa route rouge poussièreuse et facilement inondable, ses nombreux petits chemins de terre menant à la jungle, aux montagnes ou aux rivières, ses petites maisons en bois sur pilotis si particulière et tous ses animaux domestiques ou non qui se promènent à leur guise. 

Pour s’imprégner de la vie cambodgienne nous décidons de dormer chez l’habitant. La maison ou plutot la cabane en bamboo, en paille et en bois est assez petite avec deux chambers, une pièce principale et un balcon. Ici tout se passé sous la maison (hormis pour dormier et encore). C’est assez sympa de se retrouver dans une famille qui ne baraguine que quelques mots d’anglais mem si ce n’est que pour quelques heures et qu’il est difficile de communiquer. 

Panorama de Chi Phat
Une fois installés dans notre modeste demeure qui se compose d’un lit et d’une moustiquaire, nous partons nous perdre dans les petits chemins contemplant le paysage et nous familiarisant avec tous ces sons provenant d’un peu partout et nulle part à la fois. Après quelques km, nous tombons sur un point d’eau digne des rivières de nos alpessauf qu’ici on peut se baigner. Une bonne première approche de la jungle avant d’y pénétrer réllement.

Sophie et Julien

mardi 26 avril 2011

Sea, Sex and Sun

Plage et repos a Sihanoukville

Enfin plutot mer, soleil. Par contre les touristes comme les cambodgiens peuvent très facilement trouver leur bonheur. Ici c’est bar à call girl (pudiquement appelé) à foison, boite de nuit et alcool à volonté. Pour nous c’est plutot transat et baignade dans une mer super chaude et un sable pas tout à fait blanc mais presque. Nous avons choisi de nous éloigner de la plage touristique. Là bas c’est un peu la foire avec structures gonflables sur l’eau , restaurant et bar pratiquement sur le sable où tout le monde vous appelle, massage sur la plage, transat payant et impossible de se mettre ailleurs. Crazy.
Nous préférons un endroit beaucoup moins touristique : Victory Hill et sa plage. Il s’est vite avéré que s’il n’y a aucun touriste la journée en revanche c’est le paradis des bars la nuit. Adieu la traquillité et la sommeil et bonjour la musique jusque 4h du matin. Par contre no problem sur l aplage qui est quasiment déserte et où vous pouvez vous insatteler sur les transats pour pratiquement rien. Autant dire que la journée s’est résumée à ne rien faire si ce n’est buller  et faire quelques brasses. Dur dur
Julien et Sophie

Photos 

lundi 25 avril 2011

Phnom Penh, citée francaise

Les jardins du palais

Phnom Penh ressemble un peu à une ancienne ville francaise mélangé au style USA. Nous retrouvons les maisons dans le style de ceux du sud de la France avec les balcons et les toits en tuile tandis que les avenues et rues sont très grandes et larges tout comme les feux au carrefiur un peu comme aux Etats Unis. En tout cas c’est une ville pour les nuls en orientation comme Sophie car tout est perpendiculaire et parrallèle et oh surprise ce n’est pas des noms de rues mais des numerous : street 110, 111.. qui semblent se suivre au premier abord mais en fait non d’où l’utilité d’avoir quelqu’un bon en orientation comme Julien. Seules les grandes avenues portent des noms de personnages connus.

Mais avant de visiter la ville nous avons une mission capitale : vendre les vélos. Nous allons faire le Cambodge autrement. Après plusieurs tentative dans différents magasins, nous avons la désagréable surprise de constater qu’ils valent à peine la moitié du prix d’achat. Au bout d’un moment nous nous résignons tout de meme à les vendre. Nous n’allons pas nous les trimbaler dans tout le pays inutilement.
Après cela, nous partons visiter les monuments et autres les plus importants. Phnom Penh est très étendu et ils sont assez éparpillés . De quoi faire fonctionner nos jambes après un mois à pédaler. Nous commencons par le palais royal. Honnétement il n’est pas très intéressant. Nous pouvons visiter qu’un tiers des batiments et l’intérieur est rapidement vu. En plus l’architecture ressemble aux palais de Bangkok (que nous avons visité il y a un mois). Direction donc le musée du genocide à l’autre bout de la ville. En fait de musée nous trouvons des pièces vides ou presque servant autrefois de cachots. Seule pièce réellement intéressante, celle où sont exposés les photos des milliers de torturés et encore le cliché est pris à leur arrivée. C’est certain que cela reste un témoignage précieux de ce qui s’est passé et de l’horreur perpétré par les Khmers rouges mais nous pensons qu’il devrait le rendre plus vivant. En tout cas il ets nettement moins impressionnant que celui d’Ho Chi Minh. Pour terminer cette visite nous déambulons dans les rues nous imprégnant des odeurs des marchés, des rues et notamment du marché central où fringues, bijoux et autres matériels électroniques sont rois ainsi que les marché russe, très éloigné du centre. Grand et ouvert, c’est un peu la caverne d’Ali Baba pour les locaux comme les touristes. Une bonne source d’approviosnnement en souvenirs divers et un grand bain de chaleur ( 40 degré à l’intérieur sans ventilateur, je vous laisse imaginer la chaleur et l’humidité qui y règne) avnt Sihanoukville et ses plages de sable blanc.
Sophie et Julien

Photos 

dimanche 24 avril 2011

Le Vietnam : un souvenir mitigé


Avec plus de 80 millions d’habitants, le Vietnam est le pays le plus peuplé du triangle Laos, Vietnam , Cambodge. Le plus dense en population mais aussi le plus développé. Meurtri par la guerre qui n’est finie que depuis 35 ans, il a su se reconstruire. Nous ne pouvons pas vraiment deviner que e pays se remet tout juste d’une guerre en passant dans les villes et les villages le long des deux routes principales. Les infrastructures, l’eau et l’électricité sont présentes partout. C’est un pays neuf qui joue désormais un role sur la scène international. Pays ultra moderne (Internet est Presque partout, le telephone portable aussi sans compter les nombreux gadgets électroniques en tout genre) et conservateur à la fois, le Vietnam se retrouve à la frontier entre le communisme et le capitalisme. 

Avec un seul parti present (pourtant il organise des élections, je me demande à quoi cela sert mais bon), la difficulté pour les habitants de sortir u pays, une presse pas vraiment libre, le discours du gouvernement crié par des hauts parleurs dans les rues chaque matin vers 7h, l’éducation qui prone le travail pour sa famille et son pays avant de travailler pour soi (c’est un peu travail, famille, patrie de Pétain)… on pourrait presque croire que c’ets un pays totalitaire voire une dictature. Et pourtant pas du tout, le pays est ouvert au monde, les gens semblent libres de penser, les oppositions au gouvernement sont bien tolérées et pour couronner le tout , ils sont ouverts économiquement. Je dirai meme qu’ils sont plus capitaliste que les USA eux-memes.
POurtant, comme pour tout, ils ont un rapport assez bizarre avec l’argent. D’un coté, ils brulent de faux dollars ou parfois des dongs dans la rue pour les marriages ou devant les autels des dieux (Est ce en signe de chance ou de mépris ? Je ne sais pas) et d’un autre coté le dollar est roi. Partout où vous allez vous pouvez payer avec . Ils gagnent assez peu mais ils ont compris  qu’ils peuvent gagner dix fois plus avec les touristes. Ils pensent tellement  que les USA ou l’Europe sont des eldorados où les habitants vivent bien, sans problems, qu’ils font raquer les foreigners deux fois plus. Que ce soit les institutions publiques (le billet de train est plus cher pour les non vietnamiens), les hotels, les restos ou les petits marchands des rues, les bus… une loi non écrite leur fait doubler les prix. Tout est bon pour soutirer le maximum d’argent aux étrangers. Bien entendu, cette règle s’avère plus flagrante dans les lieux touristiques comme la baie d’Halong, Hué, Hoi An (le pire lieu rencontré Durant notre périple), mais aussi parfois dans les villes. Il faut etre vigileant à chaque instant, demander les prix, les diviser par deux et négocier. Meme en faisant attention, vous vous faites escroquer légalement. On vous vent 5 peins au lieu de 4 pour ne pas avoir à vous rendre la monnaie, vous devez donner un pourboire pour récupérer vos vélos dans le train, vous etes déposés au milieu de nulle part pour vous obliger à prendre des motorbikes hors de prix… L’accumulation de toutes ces petites choses font qu’à la fin, je n’en pouvais plus. 

Pour moi, les Vietnamiens profitent un peu trop des touristes (je comprends qu’ils essaient de gagner de l’argent mais pas de cette manière). Ce sont un peu des voleurs surtout quand vous voyez que 4 petites baguettes de pain variant entre 15000 et 50000 dongs (d’habitude vous avez un écart de 2000 au plus si vous parlez en dong) ou que vous payez le meme prix avec la meme compagnie de bus quelque soit le nombre de kms (alors que le ticket de bus coute deux fois moins cher pour les vietnamiens et est fixé en fonction du nombre de km). Grand point négatif et j’espère qu’un jour ils s’apercevront qu’il ne faut pas prendre les touristes pour des vaches à lait que l’on peut traire sans scrupule.

Autres points negatives mais au final assez rigolo quand on reste calme et souriant : l’agressivité de la population. Les habitants ont le sang chaud et cela se resent. Nous avons l’habitude  d’etre sollicités voire embétés par les tucs tucs, taxis et quelques marchands. Mais là, cela dépasse tout. En plus des rickshaws et compagnie ( qui entre parenthèse sont beaucoup plus virolents) il est impossible de regarder une carte de restaurant sans etre apalgué par le serveur qui vous fait l’article ou de rentrer dans un magasin sans que l’on vienne vous demander  ce que vous voulez acheter et d’insister quand vous avez le Malheur de toucher un objet (cela est valable uniquement pour les endroits touristiques). Si au début vous trouvez cela amusant, à la fin vous etes vite agacés de ne pa spouvoir vous promner tranquillement sans etre interpellé toutes les 30 secondes. Le pire reste quand meme à Hoi An  puisque meme au marché vous ne pouvez pas faire un pas sans un do you want buy something ou sans etre tiré par la manche. Bon allez c’est énervant mais cela reste bon enfant et fait parti de leur savoir-vivre.

D’ailleurs, quand vous voyez qu’ils peuvet s’engueuler et meme en venir aux mains dans la rue, les trains… vous comprenez mieux leur ‘agressivité’ dans le commerce. Rien que leur conduit sportive (on ne respecte pas les feux rouges, on prend les ronds points à l’envers, on ne ralentit pas ou à peine quand un piéton passe  mais on klaxonne) témoigne un peu de leur impatience. Ce n’est pas pour rien qu’ils sont les plus mauvais conducteurs du monde.

Heureusement, le Vietnam n’a pas que des cotés négatifs, loin de là. Je ne peux pas blamer sa richesse au niveau des paysages notamment. Si architecturellement, le pays est assez pauvre, tout a été détruit pendant la guerre, il faut souligner l’intérét du grand palais et des tombes des ducs à Hué. Le complexe est gigantesque et il reflète bien la vie religieuse et royale de l’époque sans compter les nombreux details des sculptures et peintures. Hoi An ne manqué pas non plus d’intérét avec ses nombreuses pagodes et la vieille ville témoin du passé. 

Mais le plus  intéressant reste les panoramas. Nous avons traversé une bonne partie du pays à vélo admirant des paysages variés et ne s’en lassant pas. Champs de riz, de sarrazins, de blés, montagnes verdoyantes, plages des sables blancs, mers, salines sans oublier les villes, les traversés des ponts, des chemins de fer… offrent un arc en ciel de couleurs et d’odeurs. C’est toujours agréable de traverser d’aussi grandes diversités. Bien entendu je ne peux pas ne pas parler de la baie d’Halong si majestueuse et si mystérieuse à la fois. En se laissant bercer par les eaux, j’ai découvert ces formations rocheuses si particulières et si belles avec leurs robes grises, bleus, vertes entourées de brouillard leur donnant un aspect à la fois magique et inquiétant. 

Et puis le Vietnam c’est aussi les habitants des petites villes curieux (ils aiment beacoup toucher les vélos), souriants, qui essaient toujours de communiqué sans meme parler l’anglais. Nous avons passé de bons moments à Halong Baie avec Marie-Annie et Roger, 2 francais reporters photos et des jeunes vietnamiens étudiants en photographie, avec ces jeunes vietnamiens rencontrés dans un parc à Saigon ou encore toutes ces familles ou personnes dans le train, les arrest, les étapes, les déjeuners… Autant de belles rencontres qui resteront inoubliables et qui au final eclipsent les quelques points négatifs.

Sophie

vendredi 22 avril 2011

Entre guerre et paix


Une sculpture avec des restes de bombes cherchez l'erreur
Avant de quitter le Vietnam pour son voisin le Cambodge, nous partons à l’assaut de la ville. Hier soir nous avons rencontré un groupe d’étudiants dans un parc qui nous ont expliqué certains points sur le gouvernement, la société,  l’emploi et la vie quotidienne au Vietnam. Nous comprenons maintenant mieux pourquoi ils élèvent systématiquement les prix pour les étrangers ( mem si cela n’est en rien une excuse). Ils vivent avec pratiqument rien, sans aucune aide du gouvernemement et ne peuvent sortir que très rarement du pays. Ils voient pour la plupart, (on ne peut pas mettre tout le monde dans le meme panier)  dans les touristes une manne financière. Ils pensent ques les USA ou l’Europe sont des eldorados (la TV leur renvoit cette image). C’est donc normal qu’ils dépensent plus que les autres. Nous pouvons peut-etre comprendre leur raisonnement meme si nous ne le tolérons pas. Et puis certains touristes sont aussi fautifs en sortant à qui mieux mieux des liasses de billets dépensant sans compter et parfois meme en étant assez méprisant avec les locaux. Peut etre qu’un jour le suns et les autres comprendront que ce n’est pas la meilleure solution mais en attendant la loi non écrite d’augmenter les prix pour les touristes n’est pas prete de s’arreter. C’est en connaissance de cause que nous finissons notre périple en visitant cette ville mixant les traditions du passé et l’occidentalisme ( tours et marchands ambulants, vieux cyclos et autos de luxe donnent un coté assez pittoresque et unique à Ho Chi Minh.

La ville comme le pays a su se relever et participle activement aux decisions sur la scène internationale et cela en moins de 35 ans, date de la fin de la guerre. La guerre américaine Vietnamienne  et ses consequences malheureuses sont justement au Coeur du musée de la guerre. Dès l’entrée, nous sommes saisis par un jeune homme sans yeux (vous avez bien compris) jouant de la musique. Il a été victime comme des centaines d’autres de l’agent orange comme ils disent.

Après quelques explications sur la guerre, la solidarité des pays du monde pour le Vietnam, nous pénétrons dans deux salles remplies de photos. A priori rien de bien extraordinaire. Et pourtant ce ne sont pas de simples clichés mais le témoignage poignant de toutes les atrocities, tortures et barbaries commis par les américains. Bon bien entendu, nous avons que les américains meme si nous pensons que les Viet ont aussi commis des actes ignobles sur les soldats américains. Ici l’expression le poids des mots, le choc des photos prend tout son sens. On ne peut pas rester insensible devant le simages de tous ces enfants nés jusque cette année encore avec des deformations affreuses, sans jambs, sans bras… ou avec de tumeurs grosses comme des balles de golfs sur tout ou partie du corps. C’est choquant et surtout nous avons du mal à comprendre comment un homme peut faire autant de mal à son prochain et faire endurer des souffrances, meme au generation suivante en utilisant des expériences au nom poétique (agent orange, vert, violet) mais tellement destructrice. Comment des hommes peuvent arriver à torturer et à bruler vivant des hommes, des femmes, des enfants de 5 mois, 6 ans, 8 ans… sans scrupules Le pire dans l’histoire est de savoir que ni les atrocités commises par les Nazis ni les ‘expériences’ pendant la guerre du Vietnam des américains… n’ont servis de lecon. Aujourd’hui enore les USA continuent de violer le slois de la guerre (et oui meme pour la guerre il y a des lois) impunément ou presque en Irac ou en Afghanistan.

C’est marqués que que nous quittons le musée pour déambuler au hasard des rues de la ville. Quel meilleur moyen pour découvrir les parcs verdoyants, monuments, palais de l’indépendance en s’imprégnant de l’atmosphère et de l’ambiance de la cite polluée.

Autant de découverte qui se terminent obligatoirement par un des nombreux marches, poumons des villes et des campagnes. Bon pour le coup nous avons peut etre choisi le plus touristique puisque boutiques de souvenirs ou de vetements prennent le dessus sur les étals de poissons, de fruits et légumes, de fleurs… qui donnent habituellement toute la vie et les couleurs aux marches. Un peu dommage mais heureusement que nous avons pu pénétrer dans des endroits plus locaux et pittoresques au cours de notre périple à vélo.

Saigon, la ville qui ne dort jamais, encore une autre, marque la fin du Vietnam et nous ouvre les portes du Cambodge et de Phnom Phen où nous serons demain soir.

Sophie et Julien

Photos 

jeudi 21 avril 2011

Enfin Saigon


Crazy Saigon
Après plus de 200km à travers la campagne et les petites villes vietnamiennes, c’ets finalement à Dieu Tri que notre périple à vélo se termine après plus de 800 km tout de meme. La mousson enfin pour le moment se sont plus des orages nous a rattrapé et c’est trempé que nous sommes arrivés  à Binh Dinh, notre dernière étape. De plus, le visa arrivant à expiration dans 6 jours et quelques petits soucis de santé pour Sophie (rien de bien grave rassurez vous) nous oblige à écourter notre aventure cycliste.

C’est donc après 13h de train que nous découvrons Saigon ou Ho Chi Minh. Un train de nuit assez folklorique. Si les sièges étaient mous, nous avions l’ompression que tout le train datait de la seconde guerre mondiale. Fauteuil dans un état déplorable, odeurs en tout genre, bruit de la TV une grande partie de la nuit, c’est toujours une expérience que de se déplacer en train sans compter les gares y compris celles de Saigon qui ressemblent davantage à nos gares campagnardes qu’à des grandes stations. 2 voies seulement l aplupart du temps et vous pouvez le straverser comme bon vous semble. Et nous vous parlons meme pas des trains eux mems qui fonctionnent encore au diesel. Ce ne sont que de petites anecdotes qui vous donnent un apercu du voyage.

Quant à Saigon, nous nous attendions à une grande ville américanisée (c’ets ce que l’on nous avait dit) avec un ecirculation encore pire qu’à Hanoi masi il n’en est rien. Si quelques grands buildings (style New Yorkais) parsèment la ville et que nous trouvons pour la première fois réellement des marques américaines et europénnes style Etam ou Higland Cofee pour ne citer qu’eux, nous retrouvons le style asiatique avec le sgrands rues et boulevards, de svendeurs avec leurs chapeaux coniques et aux paniers bien remplis de toute schoses portées de chaque coté de leurs épaules, des vélos et motos qui servent pour tout et n’importe quoi. La circulation n’ets pas pire qu’à Hanoi. Seule différence, le nombre de scooters, motos et cclos au m2, d’autant plus flagrants aux feux rouges et carrefours. Etonnant qu’il n’y est pas plus d’accidents. Cela ne nous empeche pas de rouler à vélo dans tout ce traffic meme si tout de meme nous allons privilégier la marche pour le svisites. Il faut savoir etre raisonnable de temps en temps.

Sophie et Julien

lundi 18 avril 2011

Encore 100 km ou plutot 98

Petit apercu du jour
Les jours s’enchainent et ne se ressemblent jamais. Le Vietnam continue à nous étonner. Après les champs de riz à perte de vue, nous roulons désormais parmis les champs de blés, de mais et de sarrazin sous un soleil brulant (non non nous ne sommes pas rentrés en France en été). Des champs qui laissent peu à peu la place aux montagnes verdoyantes et aux nombreuses salières le long de la mer.

Mais plus que le paysage, nous avons retrouvé avec bonheur les vietnamiens charmants et gentils du début.  Il faut dire qu’à Hoi An, le sourire n’est pas vraiment de rigueur chez eux et tout est fait pour escroquer les touristes (meme la bouteille de lait a triplé de prix). Une très belle ville mais trop touristique avec tout ce que cela entraine comme dérive.

En dehors des zones touristiques, nous découvrons un autre pays. Il n’est pas rare que l’on s’intéresse à nos vélos et à notre périple lors de nos pauses déjeuners ou autre. Pas plus tard que ce midi, nous sommes tombés dans une famille charmante. La fille de la famille apprenant l’anglais à l’école discutait avec nous, avec le peu de mots et de phrases qu’elle connaissait. La mère a suivi avec des gestes ainsi qu’un client (réparateur de vélo et qui au passage nous a regraissé gratuitement nos vélos). Nous avons passé un super moment entre rires et mimes pour se faire comprendre. Comme quoi nous arrivons toujours à franchir la barrière de la langue.

Julien et Sophie

Photos 

100 jours et… 1000 km

La preuve en image...
Nous aurions voulu le faire exprès que nous n’y serions pas arrivés. Et pourtant après 100 jours de notre périple autour du monde, nous avons atteint Chau O et les 1 000 km à vélo à travers le Laos et le Vietnam. 1 000 km sur les routes de la jungle, des montagnes, des champs, de la campagne et meme parfois sur les autoroutes ( si si nous vous l’assurons). 1 000 km à la découverte des coutumes, des cultures… bref de la vraie vie laotienne et vietnamienne. 1 000 km de souffrance aussi parfois (surtout pour Sophie dans les grandes et longues montées). Si nous ne referons sans doute pas 1 000 km(encore que…), l’aventure à vélo n’est pour autant pas terminée.

Nous espérons atteindre Nhatrang d’ici 6 jours soit environ 500 km. Nous somme ssans doute un peu fou mais le défi en vaut vraiment la chandelle. Nous ne nous lassons pas des paysages grandioses et variés et surtout de tous ces regards étonnés et ces recontres faites au hasard des routes et des arrets.

Dur dur le velo


....vraiment
Sophie et Julien

vendredi 15 avril 2011

Hoi An, cité charmante entre occidentalisme et vietnamisme

Panorama vu du train
Pour nous permettre d’aller plus vite et d’éviter les montagnes entre Hué et Danang, nous avons opté pour le train. C’est donc confortablement installé (enfin si on peut dire sur nos chaises durs) que nous avons profité du magnifique paysage qui s’offrait à nous. La montagne semblait tomber dans la mer offrant une vue de toute beauté. D’autant qu’au passage du col de nuages, un espèce de brouillard est venu y ajouter un aspect magique.

Le col des nuages
Après ce petit voyage, c’ets en vélo et sur du plat que nous avons rejoint Hoi An, cité pittoresque classée au patrimoine de l’Unesco. Assez petite mais très mignonne, Hoi An renferme une série de monuments, temples, pagodes et nombreux musées vivants mélangeant le style japonais, chinois, asiatique et vietnamien. Si les extérieurs de ces différents monuments sont intéressants nous avons choisi de ne pas y entrer. Le prix demandé est assez élevé et l’arhitecture est beaucoup plus plaisante que les intérieurs eux memes. En déambulant dans les rues, nous avons découvert une ville assez pittoresque et très sympathique meme si très touristique. Boutiques de souvenirs et restaurants s’y entassent. Mais pour nous Hoi An était surtout l’occasion de se faire faire des vetements sur mesure. La ville est réputée pour la qualité de ses tissus, sa rapidité d’exécution et ses petites mains. Costumes pour Julien et vetment traditionnel pour Sophie : nous voici paré pour aller à la plage. Ah non cela ne serait pas très approprié. C’est tout de meme à la plage que nous avons parfait notre bronzage et surtout que nous nous sommes repos berc au rythme des vagues et des quelques vendeurs à la sauvette (propre à toutes les plages du monde).

Sophie et Julien

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jeudi 14 avril 2011

Une cité impériale et majestueuse


Le palais des empereurs
Après tous ces km à vélo, nous partons visiter la ville et surtout découvir la citadelle et la cité impériale qui font sa réputation. Dès l’entrée, nous ne pouvons pas etre décus tant le site est majestueux et impressionne par sa grandeur. Elle s’étend sur presque un kilomètre dans un immense parc plus ou moins bien entretenu en fonction des parties. Entre les anciens palais et appartements des empereurs, impératrices, prétendantes et autres... les temples et autres batiments d’honneur et d’apparats, nous ne savons plus où donner de la tete. L’architecture, les fresques et meme les ruines (en cours de rénovation) nous donne une excellente idée de ce que devait etre la vie à l’époque. Impressionnant et bleuffant à la fois. Continuant notre voyage dans le temps nous nous perdons sur les petites routes de campagne avant de dénicher les fameux tombeaux des ducs prestigieux. La mauvaise surprise viendra du prix, assez exorbitant par rapport au lieu. Mais meme d’extèrieur, ils valent vraiment le coup d’oeil.

Après ce bain culturel, direction le marché local pour dénicher les fameux chapeaux vietnamiens. Car si nous les voyons partout sur les routes, nous en trouvons que très rarement car les habitants les confectionnent eux memes. Profitons donc que Hué soit la capitale des chapeaux pour nous en procurer un. C’est certain que ce n’est pas très sexy mais au moins nous sommes à la mode du pays et une chose est certaine cela protège bien à la fois du soleil et de la pluie.

En tout cas Hué nous aura marqué par ses monuments, sa configuration à la Francaise, son art de vivre entre tradition et modernité, ses prix assez bas pour un lieu touristique et sutout son impression de douceur et de quiètude dans un pays qui vit à 100 à l’heure. Espérons que Hoi An, notre prochaine destination, sera aussi charmante.
Sophie et Julien 

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mardi 12 avril 2011

Enfin Hué…

Hue, ville imperiale et tres verte
Les 80 derniers km qui nous séparent de Hué n’ont pas été des plus simples. Le soleil, la chaleur et surtout un vent de coté assez violent les ont rendu assez difficile. Mais c’ets finalement assez tot dans l’après midi que nous avons atteint la ville tant attendu. Près de 400 km au compteur et surtout la satisfaction d’y etre arrivé.

Sans tarder nous partons à l’assaut de cette ville, assez petite au premier abord. Tout de suite mous sommes marqués par son aspect général.elle ressemble un peu à une ville du sud de la France avec ses maisons en briques, ses grandes allés ombragées et ses parcs. Nous savons que c’est une ville fortifiée mais pour le moment nous nous contentons de nous promener dans le quartier dit touristique. Nous sommes d’ailleurs assez étonnés des prix, relativement bas par rapport à ceux pratiqués à Hanoi. Autres surprises alors que nous pensions tombés sur un nombre incroyable de boutiques de souvenirs en tout genre, il n’en est rien. Seuls quelques boutiques vendent les spécialit du coin à savoir la tenue traditionnelle et les peintures sur papier de riz. Nous verrons si demain cela sera la meme chose du coté de la cité impériale. En attendant Hué nous plait beaucoup.

Sophie et Julien

Dong Ha : dernière étape avant Hué

Le 11/04/2011

La mer et toujours la mer
Ce matin, nous sommes partis sur les chapeaux de roues puisque poussés par le vent nous avons parcouru près de 20km en 1h. Il nous faudra tout de meme 5h pour rejoindre Dong Ha, notre dernière étape avant Hué. Le soleil a enfin décidé à pointer donnant au panorama un tout autre aspect. Montagnes et route droite donnent un petit parfum d’été à la francaise. On se sentirait presque dans nos campagnes si nous n’avions pas la circulation incroyable. Des dizaines et des dizaines de camions et de bus nous dépassent à grande vitesse quand ils ne klaxonnent pas avant. Les boules quies sont devenus notre ami sur le vélo.

Nous avons également quitté le Vietnam du Nord pour le Sud en passant un simple pont. A l’époque il délimitait e Nord du Sud et marquait la zone démilitarisée. Aujourd’hui plus personne ne semble s’en soucier puisque seule une statue (pas très jolie d’ailleurs) marque l’emplacement. Comme si les Vietnamiens souhaitaient oublier la guerre et le passé. Nous nous serions attendus au moins à un musée. Enfin Nord ou Sud, cela ne change pas grand chose et nous continuons à rouler de la meme manière.

Julien et Sophie

Photos 

De nouveau en selle

Le 9 et 10/04/2011

La mer succede au montagne
Il est temps de reprendre les vélos pour les 400 km qui nous séparent de Hué. Objectif : les faire en 4j. C’est à Ky Anh puis à Dong Hoi que mous faisons nos 1er arrets. Si les routes sont plus faciles, essentiellement droites et plates, en ravanche il n’est pas aisé de circuler sur une route nationale avec les nombreux camions, autos, motos et autre sengins qui déboulent à une vitesse folle. Nous nous mangeons la poussière et nous devons rester vigilant. Heureusement que nous rencontrons quelaues insolites comme une tete de cheval posée à meme le sol ou encore des animaux vivants sur des motos : une vache trainée par une charette, des centaines de poules entassées dans un panier, des cochons coincés dans des caisses, des oies tenus à la main de chaque coté de la moto…

Et meme quand nous nous arrétons au milieu de srizières à perte de vue nous tombons sur un efamille Viétnamienne regardant la TV sur le trottoir. Ce pays est un peu fou et je crois que nous ne sommes pas au bout de nos surprises.

Quand au paysage, il évolue au fur et à mesure des km parcourus. Nous apercevons peu à peu les montagnes à l’horizon et la mer pointe de temps en temps son bout du nez avec ses longues plages de sables blancs. Mais bon, il va falloir encore faire des centaines de km avant d’espérer pouvoir s’y baigner.

Sophie et Julien

En route pour Vinh

Le 8/04/2011


Des rizieres a perte de vue
Après 7h de train pour Vinh, une ville située à plus de 200 km de la capitale, nous reprenons les vélos direction Hué. Le train a surtout été un moyen de gagner du temps (nous n’avons que 20j pour aller à Ho Chi Minh, éviter la sortie d’Hanoi et tout le district constitué en majorité de zone industrielle. Et puis c’est assez folklorique de prendre le train. Au menu : des bancs en bois dur, la fumée de cigarettes, les bruits des passagers, le sodeurs des poussières, de nourritures et les enguelades entre le controleur et les vendeuses à la sauvette (ils en sont quand meme venus presque aux mains)… sans compter les passagers qui s’entassent jusque dans les couloirs assis sur une simple chaise. Le tout donne un cocktail explosif et comment dire intéressant.

En revanche pour les vietnamiens, c’est rigolo de voir 2 blancs dans un train régulier (les étrangers vont souvent en classe molle ou 1ere ou prennent un train plus luxueux.)Imaginez qu’ils vont jusque Ho Chi Minh (soit 31h de train) dans ces conditions. Du coup on nous regarde avec insistance et les deux passagers devant nous ont tenté de communiquer avec nous avec le peu d’anglais qu’ils connaissent. Nous avons tout de meme eu le temps en 1h de temps d’appremdre quelques mots de v ietnamiens.

Arrivés à Vinh, il nous restait à récupérer nos vélos, conditionnés comme bagage lourd dans un compartiment à part. Tout une histoire. Alors que nous avions nos billets et en arrivant à la gare, nous avons appris que nous ne pouvions pas mettre les vélos dans le wagon. Il a fallu courir aux bagages et réussir à se faire comprendre (personne ne parle l’anglais comme d’habitude) et meme enjamber des sacs de toile avec nos vélos pour finalement réussir à embarquer le tout 10 minutes avant le départ. Comme quoi, nous ne sommes jamsi au bout de nos suprises au Vietnam.

Julien et Sophie




jeudi 7 avril 2011

Enfin la baie d’Halong

Panorama sur la baie d'Halong
Nous avons embarqué sur un bateau traditionnel Vietnamien en bois le Bien Nnogc pour notre mini croisière. Le temps est pluvieux et nous espérons que nous pourrons voir cette fameuse baie d’Halong. C’est à bord d’un bateau assez luxueux que nous découvrons très vite les premières formations rocheuses. Elles semblent surgir un peu de nulle part et donnent à l’atmosphère un aspect mystique presque mystèrieux. Nous nous attendons à voir surgir les pirates des caraibes à chaque instant. Ah non ce n’est pas possible !
Un peu comme des champignons rocheux recouverts de végétations qui poussent un peu partout dans la mer comme dispersés au grè des vents et marées. La promenade est très plaisante, bercés au son des vagues essayant de deviner les prochaines formations rocheuses ou de leur donner une forme. En une nuit et deux jours, nous avons eu le temps d’admirer une grande partie du parc nationale, pour notre plus grand bonheur.
Par contre il est dommage que le parc soit surexploité. Nous pouvons voir près de 200 bateaux remplis de touristes autour de nous. Autant de pollution et de nuisances surtout dans les lieux comme les grottes ou les nombreuses plages rencontrées tout au long de la croisière. La baie d’Halong représente d’un cote ce parc magnifique et d’un autre coté un nombre incroyable de bateaux sans compter la pollution. Dommage de surexploiter et d’abimer un si bel endroit. Nous pensons que le gouvernement devrait réglementer le nombre de bateaux ou de visiteurs par jour. Et encore nous ne sommes pas dans une période touristique et puis la panorama vaut bien tous ces inconvénients. Comme dit Julien, les bateaux donnent au final un charme supplémantaire. Nous comprenons que chacun souhaite pouvoir contempler ce qui est considéré conne la 8ème merveille du monde, passer une nuit au milieu de ce lieu étonnant et se réveiller avec le chant des oiseaux et le clipoti des vagues dans ce paradis.
Sophie et Julien

Photos Julien

Photos Sophie 

Halong Baie, l’impossible


Le 5/04/2011

Marie Annie, Roger et les jeunes Viets
Après Hanoi, c’est vers la baie d’Halong que nous portons notre attention, étape incontournable au Vietnam. Nous savons que la baie est depuis très longtemps surexploité et nous souhaitons ne pas suivre tous le stouristes. Nous nous rendons donc à Haiphong avec pour objectif d etrouver un ferry jusque Baie Tu Long Baie puis un pecheur. Mais là, première grosse déception, après l’accident de l’année dernière, le gouvernement a supprimé les hydroglisseurs et interdite la peche sur une grand partie du littorale. Il va falloir oublier notre reve de ne pas faire comme tout le monde et se rabattre sur Halong City, départ de tous les touristes. Après 2h de bus, celui-ci nous dépose au milieu de nulle partavec juste 2 motorbikes sur le coté. Comme par hasard. Sophie commece à etre énervé d’etre prise pour de l’argent sur patte et etre escroqué. En plus nous n’arrivons pas à Halong Baie mais à Baie Chai, une petite ville à coté, départ de toutes les croisières.Car Halong Baie est en fait un district et non un lieu. Une autre désagréable surprise nous y attend . Aucun hydroglisseur peut nous emmener sur Baie Tu Long Baie. Soit vous vous rendez sur l’Ile de Cat Bat et de là vous avisez, soit vous prenez une balade ou une croisière sur la baie.



Digérant ces informations nous tombons sur deux francais, Marie Annie et Roger , photographes reporters qui connaissent très bien la région et le Vietnam. Nous sympathisons rapidement et ils nous expliquent un peu le fonctionnement d’Halong, la culture Vietnamienne… Grace à leurs contacts, nous trouvons un bateau privé pour 2 jours et 1 nuit à un prix raisonnable. Nous sommes loin de ce que nous souhaitions mais si c’ets le seul moyen d evoir la baie d’Halong alors allons y. Et puis nous somme srelativement surpris par le nombre de touristes. On nous avait dit que c’était l’hémorragie masi en réalité mise à part 2,3 blancs qui se promènent, c’est calme. Ce qui ne l’ets pas se sont les prix pratiqués dans le srestaurants et les magsins : 2 fois plus chers qu’à Hanoi. Heureusement qu’au moment d’aller diner, nous rencontrons de nouveau Marie-Annie et Roger qui nous proposent de se joindre à eux et à un petit groupe d’étudiants en photos qu’ils ont rencontrés plus tot dans la matinée. C’ets sympas de se retrouver avec une quinzaine de jeunes vietnamiens dans un restaurant typique. A l’honneur : la photo of course, la culture et la langue (dur dur d’apprendre le vietnamien). Une soirée qui se poursuit autour d’un verre puis au gré du marché de nuit et des rues de la ville. Armés de leur appareil photo assez haut de gamme), ils ont glané des conseils et astuces de Marie-Aniie et Roger. Pas facile de faire de belle sphotos quand les appareils n’ont pas été paramétré et que les étudiants ne connaissent pas les bases sans compter la barrière de la langue. Roger ne parle très bien l’anglais et Lingh (le meneur) un anglais moyen. Julien s’est amusé à faire la traduction toute la soirée entre deux poses comme modèle. Assez amusant. Cela nous a en tout cas donné une autre image du vietnam avec une superbe soirée inoubliable.
Sophie et Julien

Une ville sous l’èfigie d’Ho Chi Minh


Le 4/04/2011


Le marche
C’est finalement en vélo, histoire de se confronter à la circulation que nous partons visiter la capitale du Vietnam. Hanoi n’ets pas une ville historique comme Paris ou Londres. Elle a été détruite en grande partie pendant la guerre et il n’y a pas de monuments vraiment ancien si ce n’ets la pagode de Pillar datant du 13ème siècle. D’ailleurs la ville compte des dizaines de pagodes et de petits temples de la meme forme éparpillés un peu partout dans la ville. Autant dire que nous nous sommes contentés des principaux à savoir le temple de Ngoc Sen au style japonaiset chinois et le temple de la littérature. Dédié aux grans érudits de l’époque et mettant à l’honneur 84 docteurs, il ets un peu le lieu de culte de tous les étudiants avant les examens. Un peu différent des lieux de culte habituels, il est entouré d’un jardion qui lui donne une quiétude et arbore les stèles des grands penseurs de l’époque.

Après ce bain religieux, nous ne pouvions pas manquer le complexe d’Ho Chi Minh, monument phare de la ville. Grand boulevard interdit à la circulation, parc verdoyant entourent le musée et le mausolée. Nous ne sommes pas entrées dans le musée, le sobjets et les autres écrits ayant appartenus à Ho Chi Minh ne nous intéressant pas plus que cela. C’est donc vers le mausolée que nous nous sommes dirigés pour découvrir qu’il est fermé le lundi et le vendredi. Pas de chance mais d etoute facon nous ne pouvons pas nous arreter devant le corps et visiblement nous ne voyons pratiquement rien. L’extérieur en revcanche est très sobre faites de pierre grise et ressemblant un peu à un temple grec mais en plus carré. Un peu décevant au premier abord mais il vaut quand mem le détour. Une petite balade dans le quartier nous a per;is de voir le palais présidentiel, assez beau architecturellementet d’autres batiments officiels assez huppés. C’est un peu comme si on sortait d’Hanoi, sa circulation et son brouhaha pour entrer dans une prison dorée, cosy et calme. Assez destabilisant et intéressant. Hanoi est une ville qui mérite que l’on s’y promène ne serait ce que pour s’iumprégner de son amvbiance mi asiatique, mi chinoise, mi occidentale. Une ville unique qui ne dort jamais.

Sophie et Julien

Photos